le révélateur :
Qualisud fait le job pour l’AVA qui se retranche derrière ces dégustations externes, faites essentiellement par des porteurs de mémoire… le fameux « manque de matière » est toujours à l’oeuvre dans les cerveaux/les palais, même s’il a été supprimé et remplacé, en contresens total, par « creux, dilué »…
le générateur :
La normalisation des signes de qualité, notamment les AOC, est assise sur le couple cahier des charges/plan de contrôle. L’avancée par rapport aux anciennes dégustations « couperet » n’est que partielle, puisqu’au final, c’est encore toujours essentiellement la dégustation, aujourd’hui de contrôle externe, qui fait régner la norme. La réunion en une seule main des fonctions syndicales (élaboration) et d’ODG (mise en œuvre et gestion du contrôle), non prévue au départ, grève cette vision en partie dépassée de la gestion d’un signe de qualité.
